Monday, October 17, 2011

My Life since 2000

My Life since the year 2000.

For every Caesar, Cleopatra, Napoleon, Thomas Edison, or Attila the Hun who blazes a fiery comet of fame and storied greatness across the firmament of history, there are millions and millions of anonymous people (chances are you and I are among them) who live and die and only God remembers them- Mark Shea

Chances are that people will not be reading these words a 100 years from now. Perhaps after I die they will be read by family and or friends.  It is October 16 when I am starting to write this summary of my life since the start of the new millennium of 2000.  I wish I had kept a better record of my life over the years. My memory fades and forgets facts, dates, and actual events.  My soul has stockpiled events stored in its inner memory but I have no access to that part of my being.  Certain Events of my life will only to be remembered by God at the Day of Judgment.   But for now, let me try to construct some major events that have happen to me.

I was living with my parents once again in the year 2000.  I was working at Staples.  Around 2001 I think it might be, I finally got a job in my field of communications and got a part time job as the Hamilton-Wenham Cable access coordinator.  I become friends with John Burke who was the head of the Beverly Cable access. I had meet John years earlier as he was an intern whom I had helped out on some shoots at the state house.  He actually helped get me that job.  I balanced life at Staples and at the cable station.  I helped set up cable shoots for town meetings and put local cable shows on the air.  It was probably one of the best jobs I ever had in my life.  I had a lot of freedom and opportunities for creativity.  I supervised volunteers and taught others how to use the equipment.  A great job that could have expanded my work experience.

Due to a maturity problem and lack of putting first things first and sloth I lost the job.  I had made some mistakes that put me in hot water to begin with and then out of frustration one night I kicked a wall in frustration out of a mistake that I made.  I made a hole in a wall.  This cost me the job I had had for all most a year. I still had Staples which went downhill as well after awhile.

My father Harold Wilson left this earth in May of 2003.  It was a sad occasion and I have written a very nice eulogy about him which explains more about my Dad.  I ended up working at warehouse for the summer full time but it lasted only a summer.  I got laid off but I tend to think that I drove the boss there a little crazy with the mistakes that I made.  I always seem to make a lot of mistakes on my jobs.  My imperfection really shines through and drives bosses crazy. I had left Staples by this time.

After the warehouse job I got a temp job at a warehouse.  I actually could have probably have gone further in the warehouse job and gotten a full time job.  But I wanted something more than a ware house job.  I then applied and got accepted to Grad school.  I went to Franciscan University in Steubenville Ohio from 2005 – 2008. I graduated and got a job at CatholicTV in 2008 and got married to my good friend Kristin Nealon in 2010.  That is my life in short with a quick synopsis.   If I thought hard I might come up with some more interesting events and memories, something I will do with my Franciscan days and hiring at CatholicTV and marriage to Kristin Nealon.  A short mini-bio and memoir will be composed hopefully soon.   It is 5 in the morning and I can’t sleep.  But in case I die or get lazy this part of my life is somewhat explained.

Wednesday, October 12, 2011

Chapitre 12
SINISTRES
Le duc d’Agnès était pressé de se mettre à l’oeuvre avec son ingénieur. Il
quitta Mirastel le même jour que Tiburce. Et le lendemain, 9 mai, M. et
Mme Monbardeau regagnèrent Artemare.
Alors, au vieux château, la vie commença d’être une épreuve douloureuse
et funèbre. La pensée de Marie-Thérèse obsédait les esprits. Par
moments, on aurait préféré l’assurance de sa mort à l’incertitude, qui est
une torture insupportable. (Quand on craint pour une jeune fille, on a
tant de choses à redouter, n’est-ce pas ?)
Mme Le Tellier passait des heures et des heures enfermée dans la
chambre de sa fille. Puis, soudain, le besoin d’action, qui les travaillait
tous, domptait sa langueur native, la poussait dehors et la faisait marcher
au hasard, très vite, d’un pas tumultueux.
Chacun possédait, sur sa table ou sa cheminée, quelque portrait de la
disparue, et chacun le contemplait bien des fois, religieusement, avec des
souvenirs et des pensées, comme une icône sur un autel.
Mme Arquedouve était privée de cette humble consolation ; ses yeux déjà
morts la lui refusaient. Mais il y avait dans le salon un buste irréprochable
de Marie-Thérèse, un buste si ingénieux qu’il évoquait la jeune
fille tout entière. Et on voyait la petite vieille dame palper le marbre longuement,
de ses mains blanches et subtiles, et considérer de la sorte
l’unique ressemblance qu’elle pût distinguer. C’était une occupation qui
lui causait tout ensemble du plaisir et de la peine. Elle souriait, puis elle
sanglotait. Ainsi ses yeux, qui l’avaient devancée au néant, cessaient par
malheur d’être inutiles, et pleuraient d’autant plus qu’ils ne pouvaient
rien voir. Quand elle entendait venir Mme Le Tellier, elle interrompait
d’un effort le cours de ses larmes, et les deux femmes se plaisaient à parler
d’une infortune que tout leur rappelait.
Tout. Même le chien Floflo, qui se tenait silencieux. Même le logis, qui
paraissait désolé. D’habitude, il était fleuri par les soins de Marie-Thérèse.
Elle savait grouper des fleurs dans un vase avec cette grâce
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japonaise qui fait croire qu’elles ne sont pas cueillies et moribondes…
Mais les vases, tels des corps sans âme, restaient vides ; et les iris, près de
la botasse3, vainement mauves, pourrissaient loin des hommes.
Il semble que le plus accablé de tous ait été M. Le Tellier. L’astronome
ne sortait plus de son cabinet de travail. Exténué de contention, las de réfléchir
à cette catastrophe incompréhensible, il n’avait plus la force de
raisonner ; il rêvait, face au paysage magnifique. Le site printanier, plein
de vie et de soleil, lui paraissait morne et désert. La joie de la saison aggravait
sa tristesse. Il regardait les arbres des vergers en fleurs, et songeait
à des squelettes macabrement pomponnés. Devant ce décor
d’espace et de montagne sa fille avait passé si souvent – si souvent, mon
Dieu ! – qu’il n’y voyait plus que le fond d’un portrait dont elle aurait
disparu. Le spectacle même de son absence.
Pour Maxime et pour Robert, ils travaillaient : le premier dans son laboratoire,
afin de lutter contre l’inquiétude, et le second dans sa chambrette,
à des ouvrages clandestins dont le but se devine aisément.
Jusqu’au 13, rien ne troubla ce calme cruel, si ce n’est pourtant
quelques tournées d’exploration faites par Robert du côté de Seyssel et
des communes molestées, et si ce n’est un voyage de M. Le Tellier à
Lyon.
Un voyage atroce. Il partit comme un fou, ayant lu qu’on avait retiré
du Rhône le cadavre d’une femme inconnue dont la mort pouvait remonter
à la date néfaste du 4 mai. Il s’absenta sous un prétexte, à l’insu
de tous, et revint le soir même, soulagé d’un pesant fardeau. La femme
de la morgue était brune, d’âge mûr et de type oriental. Une drague
l’avait extraite de la vase, cousue dans un sac et nue. Tout cela était si
loin de Marie-Thérèse, si étranger aux préoccupations de M. Le Tellier,
qu’il s’aperçut enfin de l’excès où l’avait mené son abattement. De ce
jour, il se raffermit peu à peu.
Il y eut aussi des reporters qui s’en vinrent carillonner à la porte de
Mirastel, et qui, une fois éconduits, se bornaient à prendre des vues du
château et de ses parages.
Il y eut encore les arrivées du facteur, toujours attendues, toujours
décevantes…
Et c’est tout ce qu’il y eut. Et dans la campagne également la tranquillité
s’était rétablie, quand ceci arriva tout à coup :
Dans la nuit du 13 au 14, le village de Béon, situé entre Culoz et Tallisieu,
au pied du Colombier, à trois kilomètres de Mirastel, fut ravagé.
Des mains sacrilèges émondèrent la floraison des arbres fruitiers.
3.Botasse ou Boutasse : bassin, en patois, et plus généralement toute eau dormante.
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Différentes bestioles, couchant à la belle étoile, disparurent sans laisser
de trace. Enfin, et surtout, une femme, attirée dans son potager par un bruit
insolite, ne rentra pas et subit le même sort que les branches et les animaux. Il
fut impossible de la retrouver.
De Béon, une vague circulaire d’épouvante se propagea sur le pays.
Les journalistes y affluèrent. Mais, à partir de cet instant, les sources de
terreur ne devaient plus cesser de se multiplier ; car, chaque nuit, un village
nouveau reçut la visite des sarvants.
Bientôt, même il y eut des gens qui furent confisqués en plein jour,
dans les lieux écartés. De ce nombre étaient les bergers et les vachères
qui s’en allaient, seuls avec leurs bêtes, par les prés de la montagne. La
plupart du temps, une seule personne disparaissait ; parfois deux ; et
trois de-ci de-là. On remarqua que les enlèvements diurnes s’exécutaient
de préférence sur les hauteurs, et que les flibustiers, de peur d’être trahis,
avaient soin de capturer les témoins de leurs actes.
Dans la nuit du 14 au 15, Artemare y passa. (Les sarvants, on ne sait
pourquoi, sautèrent un hameau, deux villages et trois châteaux, dont Mirastel.)
Et l’on enregistra la perte de Raflin, l’ancien amoureux de Fabienne
d’Arvière. Le pauvre homme, encore malade, traversait sa cour
clopin-clopant lorsqu’il fut appréhendé. Sa vieille mère était folle de
peur, et redoutait qu’il ne prît froid, parce qu’il n’avait sur lui qu’une
robe de chambre.
Dans la nuit du 15 au 16, quittant la route et poussant une pointe au
sud, le sarvant pilla Ceyzérieu, sur la côte, en face de Mirastel, par-delà
le marais. Puis il revint à la route, malmena Talissieu, où il s’empara
d’un poulain nouveau-né, raccourcit de sa pointe ornementale une tourelle
de Châteaufroid, et chaparda quelques lapins dans un cuveau de
métairie.
Le 17, le Dr Monbardeau reçut la lettre suivante, qui le mit au désespoir
et prouvait, d’autre part, que le fléau s’étendait plus avant qu’il ne
semblait, c’est-à-dire jusqu’à Belley. Cette lettre était de Front, l’amant de
Suzanne Monbardeau.
(Pièce 239)
« Monsieur Monbardeau,
Bien que nos relations aient toujours été plus que tendues, je me vois
dans la triste obligation de vous faire part de ce qui m’arrive.
En revenant hier d’une course de quinze jours, je n’ai plus retrouvé
votre fille chez moi. Elle s’est défilée à l’anglaise avec un joli coeur quelconque
(puisque je sais qu’elle ne s’est pas rendue chez vous) et à la faveur
de ces prétendues disparitions. Car vous ne voudriez pas que j’y
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croie ? Je n’ai pas pu avoir de renseignements sur sa fuite, la maison où je
lui ai fait honneur de la recueillir étant à distance du bourg. Voilà ce que
c’est4… Mais j’ai cru devoir vous en avertir, à cette fin que vous sachiez
qu’à partir de maintenant il n’y a, encore moins que par le passé, rien de
commun entre nous.
Je vous salue.
Onésime FRONT. »
L’horreur du fait se renforçait de la trivialité du rustre qui l’annonçait.
Suzanne, certes, n’avait pas fauté une seconde fois ; tous l’affirmaient.
Elle était donc aussi la proie du sarvant !… Et ce qui vint le corroborer, ce
fut, dans la nuit, du 17 au 18, la dévastation de Saint-Champ, non loin de
Belley.
Suzanne enlevée ! Ce dernier coup portait au comble la détresse des
Monbardeau. Madame déraisonna pendant une semaine, puis s’éleva
sans relâche contre la rigueur paternelle qui avait exilé la pécheresse repentante.
Ce à quoi Monsieur ne savait que répondre et baissait la tête en
pleurant.
Le matin du 19, les gens d’Artemare apprirent que la nuit avait été funeste
au village de Ruffieux, sis à quinze kilomètres outre-Rhône, sur la
route de Seyssel à Aix-les-Bains. La nouvelle manquait de précision. On
parlait vaguement de plusieurs personnes enlevées, ce qui demandait
confirmation.
Mais, avant d’être fixés, les Artemarois connurent un événement plus
sensationnel encore.
Un reporter-photographe de Turin était parti bien avant l’aurore pour
le sommet du Colombier, afin de photographier le théâtre du rapt dans
la splendeur du soleil levant. (Ce raffinement s’explique par le nombre
incalculable de clichés que ses confrères avaient déjà pris du même lieu,
dans des conditions différentes d’heure et de température.)
Or, de même que Marie-Thérèse et ses cousins n’étaient pas redescendus,
le reporter-photographe ne redescendit pas.
Grande émotion dans Artemare. Palabres et conciliabules, à l’issue
desquels une troupe d’hommes courageux (on en trouvait encore à ce
moment-là) se mit à la recherche de l’envoyé perdu.
Ils montèrent jusqu’à la croix. Et là ils découvrirent l’appareil photographique
planté sur ses trois pieds en compagnie d’une espèce de nabot hideux,
goitreux, haillonneux, vautré dans l’herbe, et que nul ne connaissait. Pas
4.Mots biffés par le Dr Monbardeau.
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le plus petit soupçon de journaliste, à moins qu’il ne fût devenu, par sortilège,
ce nain repoussant, à la tête trop grosse, aux bras trop courts, qui,
d’un oeil animal, regardait venir les sauveteurs.
Eux s’arrêtèrent, cherchant de tous côtés l’ancien aspect du publiciste…
Mais rien ! Alors ils s’approchèrent de son nouvel aspect – je veux
dire de la vilaine créature impassible – et ils s’aperçurent bientôt qu’ils
avaient affaire à un malheureux crétin, sourd et muet.
Et dans ce temps-là, l’audace leur vint de le toucher. Car, jusqu’ici, la
peur de se brûler aux mains les en avait détournés. On voulut le faire lever,
et l’on sut – disgrâce suprême ! – qu’il était paralytique.
Ils le prirent donc avec eux, ainsi que l’appareil à trépied, et ils commencèrent
à descendre de la montagne. Mais comme ils arrivaient à
Virieu-le-Petit, avec des mines où l’ébahissement persistait, voilà qu’ils
firent la rencontre d’un bouvier qui s’apprêtait à mener des troncs de sapins
à la scierie d’Artemare.
Et cet homme, avisant le nabot, s’écria :
Ho ! le Gaspard ! Quéto cou fa iqueu ?
Ce qui signifie : « Tiens ! le Gaspard ! Qu’est-ce qu’il fait là ? »
Et il leur enseigna la vérité, à savoir que l’idiot était un habitant de
Ruffieux, qu’il y passait des nuits et des journées accroupi au seuil de la
maison de son père, laquelle ouvre sur la route, et que tous les bouviers,
rouliers et messagers ne connaissaient que lui, à force de le voir au bord
du chemin, immobile et « à cropetons ». L’histoire fit tapage. C’était une
infernale substitution que celle d’un journaliste de Turin et d’un innocent
de Ruffieux, au plus haut du Colombier !… On tenta d’interroger le Gaspard,
d’obtenir au moins un geste expressif… Hélas ! folle tentative. Jamais
il ne fut plus sourd, ni plus muet, ni plus imbécile, ni plus ankylosé.
Son père, quand il le revit, regretta de le revoir. Et ainsi le seul rescapé
fut-il le seul qui ne pût rien rapporter au sujet des sarvants, et le seul
dont on eût souhaité qu’il y restât. Cependant les autres reporters-photographes
donnèrent de l’argent au père du Gaspard, dans le dessein qu’il
leur permît de photographier ce héros ; et il bénit le retour de son enfant.
Contrairement aux on-dit, le Gaspard avait été l’unique objet humain
dont le sarvant eût démeublé Ruffieux.
Dans la nuit du 19 au 20, ce fut le tour d’Ameyzieu, presque sous les
murs de Mirastel. Mais les précautions abondantes dont les campagnards
s’entouraient déjà limitèrent le dommage à des pertes matérielles.
Les hôtes de Mirastel se dirent que l’heure était venue pour eux d’être
tourmentés. La zone dangereuse s’était rétrécie autour du château, à
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mesure qu’elle s’élargissait au loin. Le hasard seul pouvait leur épargner
l’attaque du sarvant.
M. Le Tellier s’en réjouit. Depuis le commencement des déprédations,
persuadé comme tout le monde que leur secret ne faisait qu’un avec celui
de l’enlèvement du 4 mai, il s’était dépensé en multiples activités. Au
début, il avait même souri de bon coeur à l’idée de toutes les hypothèses
que la reprise des hostilités réduisait à néant. Par là le champ des conjectures
se trouvait singulièrement restreint, et les circonstances semblaient
donner raison au duc d’Agnès, qui avait prédit d’autres rapts avant la
taxe des rançons. Le nombre actuel des otages retenus par le sarvant démontrait
que celui-ci n’en avait pas voulu spécialement à Marie-Thérèse
et à ses cousins. L’ayant compris, M. Le Tellier télégraphia tout de suite
au duc d’Agnès, pour qu’il arrêtât l’ami Tiburce entraîné sur sa fausse
piste. « Mais, répondit le duc, Tiburce court après Hatkins. Il s’est embarqué
le 8, à destination de New York, poursuivant le milliardaire en
voyage. »
M. Le Tellier se lamenta de cette énorme sottise et revint à ses préoccupations
personnelles.
Avec son fils, son beau-frère et son secrétaire, il parcourut les endroits
saccagés. Ils observaient. Ils questionnaient. Ils éprouvaient une sorte de
soulagement pervers à constater que d’autres familles souffraient du
fléau qui les avaient frappés. Mais ils n’obtenaient aucune indication, et
recommençaient ailleurs de plus belle, stimulés par les trois femmes, qui
joignaient à leurs encouragements des recommandations de prudence.
Elles ne les laissaient pas sortir après le coucher du soleil et leur défendaient
de se séparer quand ils allaient dans les solitudes.
Un jour, néanmoins, Mme Arquedouve, qui était la première à prêcher
la confiance et le zèle, et qu’on savait d’une bravoure peu commune,
changea tout à coup de manière et se montra pusillanime à outrance.
Pressée d’avouer la cause de sa frayeur, elle finit par s’y résoudre le
lendemain du sac d’Ameyzieu. Cette nuit-là, comme la nuit du sac de Talissieu,
elle avait perçu d’étranges vibrations. Peut-être pas exactement des
bruits, mais quelque chose du même genre. Quelque chose de vibrant,
que ses sens d’aveugle lui avaient permis d’apprécier. C’étaient des perceptions
analogues à celles que lui procurait le passage d’un aéroplane,
ou d’un dirigeable, ou encore d’une grosse mouche, trop éloignés pour
être entendus au sens propre du terme ; mais ce n’était ni l’un ni l’autre.
C’était un bourdonnement sombre à force d’être sourd et grave, et qui impressionnait
tous ses nerfs, tout son corps, plutôt que son oreille. Cette
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anomalie l’avait éveillée au milieu de ces deux nuits-là, fort peu rassurée.
La première fois, elle aurait pu croire qu’elle était le jouet d’un de ces
phantasmes auxquels les infirmes sont exposés, mais aujourd’hui, elle ne
doutait pas de l’authenticité de ses sensations. C’est pourquoi elle se décidait
à parler.
À la suite d’une pareille révélation, il n’y eut personne à Mirastel qui
ne méditât profondément.
Or, ils n’étaient plus seuls à méditer, ce 20 mai 1912. À cette époque,
toute la France et toute l’Europe s’intéressaient au problème bugiste. Les
journaux du vieux monde rendaient compte de « l’avènement d’une terreur
nouvelle ». La majorité estimait « que c’était, à coup sûr, par le chemin
de l’air que venaient les sarvants », et plus d’un « qu’ils appartenaient
forcément à cette espèce volante dont le brigadier Géruzon avait
surpris deux représentants ». Le Moyen Âge revivait. Les légendes glissaient
d’âtre en âtre. Certaines, oubliées depuis des siècles, ressuscitaient
on ne sait comment. Elles s’étaient infiltrées jusqu’à Mirastel, et mêlaient
leurs chimères à la logique des raisonneurs.
Le temps n’était cependant plus aux réflexions, et, tout en ruminant
l’histoire de sa belle-mère, M. Le Tellier se préparait à la vigilance, ainsi
qu’on va le voir. Mais les sarvants paraissaient avoir pour tactique de
sauter maintenant d’un point à un autre, sans ordre, au petit bonheur, et
l’on avait déduit de cette incohérence (régulière en quelque sorte) qu’ils
ne s’abattraient point sur Mirastel vingt-quatre heures après avoir fouillé
Ameyzieu. De toutes les fautes qui pouvaient être commises, celle-ci, par
la suite, se révéla la plus lourde.
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Sunday, October 9, 2011

Directeur de l’Observatoire
202, boulevard Saint-Germain
Durant quelques secondes, je contemplai d’un regard ébloui la fiche de
bristol évocatrice de tant de gloire et de science, de malheur et de courage
; puis mon attention se fixa sur la porte. Bien souvent, au cours de la
terrible année 1912, les feuilles publiques avaient reproduit les traits de
M. Le Tellier, et je voyais d’avance apparaître au seuil de la chambre un
visiteur dans la force de l’âge, avec un bon sourire et de grands yeux
clairs sous un front large et pur, redressant sa haute taille et caressant
d’une main déliée sa barbe soyeuse et brune.
Or, celui qui tout à coup s’encadra dans le chambranle ressemblait à
ma vision comme un vieillard ressemble à sa jeunesse.
Je courus à sa rencontre. Il essaya de sourire et fit une grimace. Il marchait
voûté, d’un pas incertain, et soutenait à grand-peine un portefeuille
volumineux. Hélas ! à présent sa redingote noire flottait large autour de
sa maigreur. À présent la rosette rouge qui ornait son parement voisinait
avec une barbe grise ; ses paupières demeuraient baissées timidement,
heureusement. À présent, enfin, toutes les émotions, toutes les souffrances,

Monday, May 23, 2011

UA MR CAS Un Chapter

The UnHeard Chapter of the UnChapter of UA MR CAS
At this point in the conversation, Arnold wondered if he should spring his special offer on Jelly. It was so phenomenal and exciting that he didn’t want him to have it. But no one ever took him seriously enough to actually take out this particular insurance plan. But Jelly was odd enough maybe to believe him. He looked a few fruit cases short of a full load of a fruit truck.
"You know we have a very special insurance plan that just might be right for you," inquired Seed.
"Look I just want what I want, and not anything more," was what he said. What he thought was, "Awww here we go, here comes the offer."
"Let me just tell you about it. It’s a plan to cover you, if say you should get killed, injured, etc by aliens from a UFO". Jelly just stared at him with disbelief but with total belief in mind. Jelly took out a little device.
"Lets just see. Reality meter: {\……I……} yeah I thought so. I know I pay you, but your reality check just bounced with me."
"Reality is a big nasty vicious dragon, but I don’t believe in dragons. To meddle in the affairs of dragons, you become crunchy and taste good with ketchup. I want to let the dragon of life only roast your hot-dogs and never burn your buns which is why I have this insurance plan. Look reality is for people with no imagination. Imagination is the one weapon in the war against reality. Imagination is intelligence having fun. Intelligence is Truth and the truth is out there, and I want to protect you from it." Arnold collapsed on his disk. His speech wore him out.
Jelly just looked at him. ‘Quite a cool convincing speech.’ But this thought because of previous conversations, because in actuality it was a rambling of cow droppings.
"Listen to yourself Mr. Seed. Lets listen to logic."
"I’ll listen to logic and reason when it comes out on CD. But no sense in trying to explain it to you. It’s more complex then you can imagine." The secretaries crinched in annoyance. They hated it when ever Arnold tried to sell his UFO insurance plan on anybody. He went on and on, and the potential buyer usually ended up walking out the door. The plan covered you if anything happen to you involving a UFO. No one to this date has ever bought a plan. Arnold went on for a few minutes until their conversation resumed into the rest of the UnChapter that was written earlier.
We pick up at
DING DONG
Arnold looked over and froze solid as ice on a pond, as his mouth dropped down to his shoes.
I just have one more thing to ask you", Jelly said with a look of concern! A thought flashed into Arnold’s head like a fire,
"God, what did I do wrong?"
"He’s going to be here awhile," Bonnie insisted!
"Well, at least I’ll have something to write home about", Bunny replied.
Jelly coming back in actually lead the sectaries to start dancing on the desk When miracles happen, it usually causes one to dance. Jelly came back in to actually buy the insurance plan. It seemed as if he was no. Bonnie ended sitting it out crying. She told Seed she would go on a date with him if anyone ever got the UFO insurance plan . She thought it was as likely to happen as the Red Sox winning the world series.
Later on after the meeting with Seed, aboard a UFO.
Alien 1: You got the insurance plan, oh Man you’ve caused our plan to work.
Jelly: You’ll pretend to abduct me and will collect the profits.
Alien 2: Yes 30/70 with the 30 coming to us YES. (the aliens high 4 each other. Little did they know that 30 on Earth is lower then 30 on their planet. Jelly decided not to let them in on that secret.
Alien 3: Whew hoo. (He jumped and slammed into the buttons on the control panel sending the UFO speeding out of control.
Alien 1 You MutarHead, (The UFO continued to gain speed)
Alien 2: We were in a secure hiding place and now you’ve blown it.
Alien 1: Blown us right out into the storm.
Jelly: And into the oncoming path of that plane.
All the alien’s plus Jelly looked at the oncoming plane. Each one relinquished a scream of horror.
Jelly wondered if any part of the plan, that he never read, covered the UFO itself, say it got damaged.
At this point Bodie Lee ( agent IQ 2 looked out his window at the oncoming UFO headed straight towards the plane.

Oliver Wright Elf: Oh wait till you see how this one turns out.
Christopher Wright Elf: They’ll have to wait just as we will, cause this was the last planed chapter.
Wilber Wright Elf: If the thing is to be anygood it needs to be rewritten. But another time, as we have other things to Right.
OWE: Poems
CWE: Screenplays
WWE: And More because we are
All three: The Wright Brother Elves
Critic Jack: Are they gone? Is this how the author leaves us? With a cliffhanger. With everything explained out for us as if it were a coming attraction. This is cheap and a bad payoff. I’ve seen better delivery’s out of an Ernest movie. This is WHOOPPPPPPPPP!!!!!
FunnyMan throws a pie right into CJ knocking him out.
The Bed with the 6 adventures speeds off into another adventure.
Ace and Sandy go for a little romantic stroll on the beach.
The Past Sheriff’s Twin goes off somewhere as everyone else does.
Willy left the computer room frustrated. "Man I don’t think I’ll ever be able to finish this tale. Maybe I better try something new. Maybe I could renew this one." Willy sat on a couch to ponder what he should write next. As he wondered he wandered into sleep, while 3 little people walked over him and down the aisle of the next bookshelf. But Willy didn’t notice as he had wondered into another dream, and that dream is a whole another story itself that we won’t talk about That is the conclusion (for the time being) of UA MR CAS. A conclusion is simply the place where you got tired of thinking. The thinking tried to make it’s way but Logic started blow smoke rings at it and thus he disappeared in a puff of logic.

UA MR CAS Clean Up Crew 2

UA MR CAS’s Cleanup Crew Part 2
WWE: Okay, sorry about that. That was the Panda killer. He was sent to get rid of us before we got rid of the suspense of UA MR CAS. He had had a great big meal and then took out his gun and then ran out the door. That's what he does. The Panda Killer Eats, Shoots, and Leaves.
CWE: An good example of a joke used in the wrong place. The Panda killer was pandering around in the author’s brain and decided to come in here. Couldn’t fit it any other place at the time being. We were all going to be dead and have a cleanup crew clean up the previous cleanup crew but that would take to long to write and would defeat the purpose of what are central point is.
CWE: If there are grammatical errors and spelling mistakes, or this summary is hard to understand, we wrote it in a rush, as this is a volunteer effort and are being paid to do another job with lots of $$$.
OWE: Before we get to the central point of what are central point is, lets create the runway that the airplane of our story is going to land on.
CWE: Remember this is an overall outline of the story. Maybe in will be written in detail in the future. But so the story will have closure, here is the general outline so you know what’s going on.
OWE: The First thing is what happen after Ace rescued Sandy, who was of course Dan (Danielle the Russian Drug Dealer) ? There must have been some showdown, between him and the girl. Possibly the Killer Smurfs got back involved or maybe another gang, like the Cabbage Patch Kids form Hell. How did it go down? Ace must have had some reaction to Ramon and Gracho? Did they become friends? Did they fight each other or did they join forces once Ace figured out who Sandy was? Was Jack anyone special?
CWE: Could have Anti-Critic Jack
ACJ: I think that's a bit Low.
WWE: I thought we got rid of him.
(The cain gets rid of him again.)
OWE: Somehow Ace went from tracking the Russian Drug dealer to getting involved with the sheriff and the mystery in Hushville. How? It connects somehow. Did the 6 Adventures help Ace before they got on the bed, or did they just escape. Maybe this is what got Ace involved in the mission. No it is what got Ace involved. The Elves got back to their bed somehow, and they escaped in a hurry, but not before FunnyMan got thrown on their bed. How? Did they fight with Ace? Did they Help Him? How did FunnyMan go from the clutches of Discus tin Justin to where the Magic bed was? They must have put him on somehow. He must have been transported by the bed and dropped on it. Why did Discus tin Justin and his crime group go by the beach? . They Probably ran away from the Killer Smurfs. They must have been gloating over getting FunnyMan, but not for long? Why didn't they take off his mask or take off his Clown Makeup to see who he was?
WWE: SO They took off with FunnyMan unconscious. But they did not just take off with FunnyMan. They took off with another mysterious figure. Who is he? Seeing we can't kill the plot anyway, here it is.

CWE: We've thought long and hard about this. The mysterious figure is the Sheriff from the future. He went back in time to the little beach and got swept up with the bed and landed in Nam somewhere. The 6 adventures landed by the Sheriff of the past being fired at by the Gorilla soldiers. on 12:34 5/6/78. WWE: Or that's when they left Nam to go back to the future, but we haven't gotten there yet. The date is important and it corresponds to when they went to Nam and ran into the Lert rescuing the two MIA's. Yes I repeated myself because it's worth repeating.
OWE: And just what is a Lert? More background on them is probably needed. There a group of good guys. That’s all you need to know for the time being. They must fall into place later in the story. The 6 fell out of the bed as it shot into that time period, and the Sheriff from the future fell out also, BUT FM didn't fall off and woke up as the bed sped to a lake or the ocean with him still on it. Somehow he doesn't smash into the boat and hooks up with the 6 adventures again. People like this don't die in a story like this..
WWE: Of course they hook up again. How does the bed get back to the 6 adventures? Who are the 3 guys being fired at by the Gorilla's. This is where the story gets really complex, but wait we can't explain that yet. FunnyMan activates the Sucking Boomerang, by accident. Remember the bed was still in the experimental stage and the 6 Adventures did not fully know how to work it yet. The Sucking Boomerang device brings all occupants and those attached to them back to the place of origin. But it brings them back about a week later, or earlier. This ties in perfectly with what we have in mind. We don't have all the wholes filled yet but are forming an idea.
CWE: Use the Beach as your central time line point. The Sheriff from the future goes back in time to Nam, undetected. The Sheriff from the past goes back to the future with the 6 adventures and FM. And he actually gets transported back to the past again. Apparently the 6 helped him out once before and he wants there help again. Nam is where he got help the first time. He needs help in the present and it has something to do with Skagerrak Strait .+ Hushvill Plan 52 1/8.
OWE: He says this after he gets blown away. He gets shot, so the Plan is in danger. But he doesn't get blown away. He doesn't but the future Sheriff does. He lives on from the time he gets dropped in the past to the present moment when he gets blown away by the sheriff. He is actually a clone of the sheriff from the future. Yes, Somehow this guards him from all time paradox's and any real logic holes in the story. It’s too complex to explain so we don’t have to bother trying to explain it.
OWE: Someone was sent to kill the Sheriff. But Who? That is the biggest Mystery. Who is the MUA? Although it would be nice to never reveal his identify and just keep him as the Mysterious Unknown Assailant it looks as if it is the sheriff, according to the Mysterious Clocked Figure. But then who is he? The MUA would have to be the Sheriff from the past. He was sent to kill the Sheriff's clone from the future." Why? Because he knows about the magic bed. He may have been a Lert but has switched sides and joined forces with the Vestris .Yes the forces that Ace is always trying to stop. They are out to seize the bed for world power and only he knows where it will pop up again. He got the future sheriff out of the way, so he could not interfere. He looks at the picture of the 6 Adventures with the future Sheriff and hopes they can help him overthrow the leader of the Vestris so that he can be supreme ruler. .The Ruler of the Vestris of course is The Evil madman. That's what he wants the help for, to get rid of him and then help him take over the world.
CWE: Actually it is more confusing and controversial then that. How do they plan to take over the world. By going back to the central point of time and thwarting it somehow. There is a thing on the devise for sending it back to he origin of all time. It gets activated and it goes back to that central point. Of course that central point being the Crucifixion of Jesus Christ.

WWE: More on that if this ever gets written in detail. How did the Mysterious Clocked Figure know all this? Okay to throw another confusing monkey twist in the plot, there's another Sheriff running around, and he's the Mysterious Clocked Figure. No it's not someone from anther time period.
CWE: It’s The sheriff's twin brother he never knew he had. He was aborted when in his mother's womb. He survived. That's a story in itself. He was actually a member of the Vertis and converted to the Lerts. So There s a good sheriff who is a Vertis turned Lert and a bad one who is a Lert turned Vertis.
OWE: The Reasons why are really interesting. One wants to protect the secret of the bed and the other one doesn't. A battle between good and Evil. Oh the battle that is to be written about it. Whew.
CWE: What about the two dead bodies? Who are they? Their the MIA's from Nam. They were killed. It doesn't matter by who at this point. They were killed because they know about the bed. The Future Sheriff's Clone was investigating it, making sure who it was when he got killed from the Sheriff from the past. So Manual got involved. Ace got involved. Probably from the beach. Does FunnyMan get involved. Probably. But we haven't thought about that as of yet. Because these people got involved the Vestris sent out killers out to get them. They put snakes in the Future Sheriff's Clone's office. They use the stupidity of the Pal Brothers, to get their nasty work done. They even ordered out for the Pizza delivery Bomber Boy. Then there is Daisy. Somehow daisy want to come clean? She somehow cause the two to get killed. Or she did something wrong involving the whole case. But What?
WWE: Wasn't one of the people who got killed a woman?
CWE: The woman was then wife of one of the MIA's who went through that ordeal. Daisy is now a view to a kill like Ace and Manual. The secret of their romance will be revealed at some point. And with that the secret of why she despises him.
OWE: Now because Ace is involved, so is the president. But he thinks that Ace is doing something else. He doesn't know about the magic bed. Nor does he need to. Because he has heard rumors, he brings up the IQ agency. He believes the IQ Agency is fake.
WWE: Now what about the IQ agency? We need to know more about it. Do they know about the bed? They know something is going on in Hushville. They think the mysterious killings have to do with another strange event happening in Hushville. What happens to this guy IQ 2 on the plane?
Why does he feel a need to talk like Ned Flanders. The Plane Chapter isn't very plain at all to what is going to happen in the story. Does the Secret Ring mean that Bodie works for more then just the IQ agency? Is he a double agent., What's the Info he never told the IQ Master.
CWE: What happens with the MUA and the truck? He gets hit and regains his memory. His identity is not revealed at this point, but you all know so it doesn't matter.. But he remembers his plans. Eliminate all who would know when and where the bed would pop up next. Eli mate them. Thus the 2 dead bodies and the sheriff. And he did or so he thought? He goes to wait for the bed to reappear.
OWE: Another button that is activated is a name we can’t think of yet. It causes the Leaper to transform back in forth within the lifetime of a particular person every time it is activated. It requires the blood of an individual. The Future Sheriff’s clone’s blood gets into that function of the leaper. Thus the 6 get transported to Nam and other places, including when the other twin was sucked out of the womb. There is another sister or brother or son or daughter that was aborted . They died and went to heaven and interceded the Past Sheriff’s Twin into a relationship with Christ.
CWE: Now another group is called in. The situation is so serious that the boggie man are called into handle the case. But who are the boggie man?
OWE: They are not actually called in about the Magic bed but something else.
WWE: Now that your up to snuff to what is happening and why, you can know this.
CWE: All this leads to a mighty showdown with the bed. There is a scene at t he cross of Christ.
WWE: There's a battle, the good guys win and the next part of the mystery is revealed.
OWE: Before we reveal that other mystery to you, let us sum up with this.
CWE: We’ve summed up the whole story for you. It may get written. It may not. We may have explained things clearly to you. We may have not. You may have liked what we did with the story, you may have not. But there it is.
OWE: If more is written, it will probably be rewritten. The whole thing may be rewritten. Quite the complex story. So if their are no more chapters after this one, you’ll know why.
CWE: And if there is, there is. Like the one we are going to tell you about it.
WWE: If any of you has questions regarding UA MR CAS, if any of you are confused as to what we have just talked about, or wants to turn any part of are summary into actual detail, be free to write us. The e-mail or address is listed somewhere. Just look for it.
OWE: Now to reveal the next part of the mystery. We will make this summary into a more detailed summary. This like the others will probably need to be rewritten and you get the point by now. But here is the last planed chapter for the time being, involving the nest mystery.
CWE: The next mystery is what the IO agency is working on. It's what the boggy man are called in for. The President is still thinking that Dan the Russian Drug Dealer is the Main objective of Ace.
OWE: But even Ace doesn't know about the other thing happening in town. Or any of the Sheriff's.
WWE: Just what is this though?
OWE: Without all the climax and fanfare we bring you back to a previous chapter. The unChapter
Of UA MR CAS. Enter Johnny and Arnold and this will tie back to the story aboard the airplane. Possibly to the two bodies. You fill in the blanks. Were just going to give you the unheard conversation between Jelly and Seed.
Like all of the other chapters, only in the next chapter.